- Topic d'Arrivée - [ Commun ]

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Après une longue absence de tout l’été, Kristen, première et nouvelle directrice de Lanbgradd, atterrit sur le toit de l’école. Le vent soufflait a une allure folle avec le battement des ailes de l’hélicoptère et elle tenait son collier pour ne pas qu’il s’envole. Arrivée a l’autre bout de la terrasse panoramique du 5e étage, Kristen sourit au pilote et lui adressa un petit signe de main amical. Son sourire était éternel, mais son cœur était de pierre.

Possédant les clefs de la porte du 5e étage donnant sur la terrasse de réception aérienne, elle l’ouvrit sans trop de difficulté, celle-ci était en verre translucide. Et une odeur connue revint dans les narines de notre professeur, c’était l’odeur des couloirs, des bureaux. Au 5e étage, aile gauche, dortoir des garçons et aile droite, dortoir des filles. L’école était pour Kristen assez bien organisée même si la décoration intérieure lui faisait pensée aux écoles américaines. Après avoir descendu les 4 étages par l’escalier central éclairé par une coupole de verre, Kristen se rendit dans ses appartements. Le 1er étage était comme tous les étages, divisés en 2. Aile droite et aile gauche. Au 1er étage, aile gauche pour les appartements du personnel, et aile droite pour les cours.

C’était parti pour des années d’administration dans cette école magnifique qui demandait beaucoup d’entretient a ses yeux. Kristen ne sachant pas par quoi commencer, appela sa vieille amie, Keyra qui avait été embauchée entant que médecin scolaire cette année. Notre petite directrice se faisait un plaisir d’accueillir a bras ouvert une personne qu’elle connaissait depuis longtemps.

C'était maintenant au tour de Keyra d'aller a Lanbgradd. Sauf qu'elle ne choisit pas l'hélicoptère. Pour être originale, elle prit l'autre moyen, payant mais sûrement mieux! Bagages et valises bouclées, direction la gare d'Oxford. Keyra savait que le train était très précis dans l'heure et il fallait qu'elle soit a l'heure, pile a l'heure, car ce train ne restait pas une éternité à attendre l'arrivée des élèves et du personnel pour Lanbgradd. Elle n'avait qu'un seul indice, c'était l'inscription sur le wagon. Toujours aussi pressée de revoir son amie d'enfance, Keyra arriva enfin a la gare après avoir choisi un taxi qui pourrait l'amener plus rapidement. Toujours en tripotant ses lunettes grises, elle pénétra a l'intérieur du train. Puis, au premier compartiment, elle s'assit. Le train commençait déjà a voler, les rails ne le touchait déjà plus. Keyra sourit, un sourire qui était rare chez une femme comme elle.

Le trajet fût bien passé, sans encombre visible. Keyra, une fois arrivée, sortit ses valises et bagages de couleurs variées. Il fallait maintenant qu'elle marche vers le lycée. Jusqu'au bureau de Kristen qu'elle n'avait pas vue depuis très longtemps. Les valises en mains, elle avança lentement mais sûrement en observant les moindres détails du paysage magnifique. Même si cela ressemblait a un parc comme les autres, il était bien différent. Les nuages frôlaient le sol, laissant une douce fraicheur paisible et calme. Comme le jeune médecin l'aimait. Les petites fleurs et les oiseaux semblaient heureux, même avec l'activité humaine sur le site, ils semblaient heureux, tout comme Keyra. Elle avançait sans s'en rendre compte. Ses pieds étaient guidés par une envie forte qui trainait dans son cœur. Passant à la suite sous l'arche de pierre, elle reprit ses esprits.

Il ne restait encore qu'une centaine de mètres avant d'arriver aux portes du lycée et ces marches étaient très fatiguant a monter. Dommage que ses pouvoirs n'étaient pas ceux de pouvoir voler ou dans le genre. Même si l'histoire des pouvoirs étaient assez étrange, Kristen lui raconterais ça avec plaisir. Après tout c'est elle qui c'est toujours passionnée pour les vestiges anciens.

L'immense porte passée, elle se dirigea vers les bureaux des professeurs. La ou serait sûrement Kristen.

Invité

L'été touchait ici à sa fin et il était temps pour Pannonique de rejoindre l'école, non sans une petite larme à l'oeil. L'inscription avait été rendue et acceptée il y a un mois. Un mois d'appréhension. Tous les bagages furent prêts, la jeune femme fit repousser les plantes du jardin en recommendant des indications de jardinage aux parents et alla, seule, à pied, ses lourdes valises à la main, vers la gare de Cologne, célèbre Allemande.

La gare avait de ce qu'il y a de plus somptueux. Les arcades de dorure étincelante, le sol de marbre blanc martelé par les violents coups de pied de passagers impatients, par les larmes d'enfants soucieux de quitter leurs parents. Pannonique était un peu dans ce tourbillon là. Quitter ses parents ne sera certes pas une opération délicate, puisqu'il suffit de passer la porte pour se retrouver déchirée d'eux. Mais néanmoins, l'affectif crie au désespoir lorsque l'on est attachés à ces mêmes parents. Et voilà que là, tout espoir de sérénité se fusille en des millions de confettis.

Le train n'en était pas moindre non plus. Blanc neige et vert, il affichait une espèce de sérénité, ce qui n'était pas de refus pour la jeune femme de 19 printemps. Elle prit doucement ses bagages de cuir clair, ses vanity blancs, ses manteaux turquoise, ses écharpes vertes, et, sans le moindre petit regard en arrière de crainte de sangloter, Pannonique Apfelwald monta héroïquement dans le wagon.

Wagon vide d'ailleurs. En cuir blanc, il était assez acceuillant. Elle semblait la seule à aller à destination de Lanbgradd. D'ailleurs, elle avait essayé en vain de suivre l'itinéraire sur une carte ferroviaire. Mais les rails, à quelques mètres de la gare se rompaient et il n'y avait plus qu'une étendue sableuse rendue par le parchemin vieilli, autrement dit un vaste hectare de prairies et de vaches en terre courante.

Pannonique s'assit sur une banquette et ferma les yeux pour méditer, et se reposer un peu de ces chamboulements. Lanbgradd. Où elle maîtrisera son pouvoir surhumain, celui de faire pousser les plantes. Quel honneur...
Cependant, elle fut réveillé par ce qu'elle crut être un accident. Elle se précipita alors à la fenêtre. Le train s'envolait. La jeune femme n'en revenait pas et se prenait pour une folle ayant des saugrenues visions. Et pourtant ! Quelle bizarrerie ! Pannonique se rassit, voire s'allongea, et porta la main à son front. Elle s'endormit aussitôt, bercée par le train.

Elle se réveilla lorsqu'il ne restait que quelques mètres. Le train se posa doucement, autorisant enfin à laisser sortir les passagers. Pannonique s'étira comme un félin et sortit, prenant doucement ses bagages de cuir clair, ses vanity blancs, ses manteaux turquoise, ses écharpes vertes, et, sans le moindre petit regard en arrière, commença l'ascension jusque l'école. C'était un chemin pavé de marbre, entouré de fleurs gigantesques. Quel bonheur pour notre jardinière ! Pannonique fit rouler avec grâce ses bagages, et après dix minutes, se retrouva devant la porte.

Il n'y avait plus possibilité de retourner en arrière.

Après avoir fait la demande d'inscription pour Georgio a Lanbgradd, la famille McCarthie reçut un coup de fil du lycée. Tout d'abord content, il s'aperçu assez vite qu'ils voulaient simplement poser quelques questions sur la vie du jeune homme. Après une bonne demi-heure de communication, Georgio aurait aimé être pris tout de suite, mais comme c'était une inscription, il ne fallait pas s'attendre a avoir une réponse aussi vite. Et même si l'éternité semblait longue, il fut vraiment étonné d'attendre si longtemps. Un mois plus tard, deux mois, trois mois... aucunes nouvelles et l'été commençait a partir pour laisser place a l'automne, partie de l'année que notre Georgio n'appréciée guère.

Finalement, quelques temps plus tard, le téléphone sonna chez les McCarthie, tout heureux, notre Georgio décrocha. Il était convoqué pour un entretient entre les parents de l'élève et ma directrice, une certaine Kristen Moreanwald. Nom charmant, pour une personne surement charmante a son tour. La convocation c'était bien passée, Georgio qui était allé la bas par train en compagnie de sa mère n'en cru pas ses yeux, ce train volait, comme lui d'ailleurs. Mais le jeune homme sentait comme un soulagement de voir que sa mère n'avait pas réagit, comme si elle c'était habituée rapidement a ce que ses enfants possèdent des pouvoirs.

Trois jours après, un nouveau coup de téléphone fit exploser de joie Georgio. Il avait été prit et sa présence été requise le plus tôt possible. Tout rapide, il prépara sa valise argentée et la déposa sous son lit avant d'aller dormir. Le lendemain, c'était le grand jour et il stressait, comme si c'était la première expérience de ce genre dans sa vie. Comme si sa vie changerait du jour au lendemain en compagnie des autres élèves qui possèderait les mêmes problèmes que lui. Il se sentit compris, et Georgio s'endormit rapidement.

C'était le grand jour, a 7h du matin, tout été bouclé. Valises et tout le tralala. Arrivé devant la gare en compagnie de ses parents, Georgio ne fit pas attention quand ils lui firent au revoir. Et sûrement qu'il ne remettrait jamais les pieds a Dublin, chez sa famille. Même si il semblait bien s'entendre, ce n'était pas encore l'harmonie parfaite entre eux. Le train s'envolait dans un épais nuage gris. Le voyage aérien avait été captivant et Georgio n'avait pas quitté la vitre d'une seconde. L'île était en vue et il ne la quittait pas des yeux.

Le premier pas avait été posé sur le sol bien dur. Portant sa valise par la main droite, il avançait tranquillement dans le parc resplendissant...

Après avoir vue cette annonce sur Lanbgradd, Meredith savait qu'elle avait été prise. Un sourire assez méchant poussa sur son visage froid. Une simple pensée que les autres avaient tous étaient recalés et seule Meredith avait été prise pour le poste de professeur d'apprentissage des pouvoirs. C'était un cours quand même très intéressant pour les élèves et les professeurs qui les encadraient. Sachant qu'elle ne serait pas toute seule pour gérer se cours, ce qui la soulageait d'un coté, mais aussi ce qui l'embarrassait. En espérant que cette personne ai l'esprit comme celle-ci puisque si c'était un petit saint ou une petite sainte, les deux professeurs feraient surement mauvais ménage. Mais tant pis, tout cela en valait vraiment la peine après tout.

Dans la maison familiale des Lillard, Meredith était colée contre la vitre. Ce jour, il pleuvait, un jour assez triste pour toute la planète, sauf pour notre Meredith sûrement, seule elle était contente d'avoir été embauchée pour ce poste de professeur. Toujours entrain de ce rabacher cette phrase agaçante, ce que ses parents n'aimait pas du tout. Mais il fallait supporter, pour faire plaisir a leur fille, a Meredith et a Loofa, leur autre fille qui avait quitter le foyer pour se marier avec un jeune homme d'Inde, depuis cette date, elle ne l'avait jamais revu, et après tout, bon débarras n'est-ce pas? Valises prêtes, vanity fermés, tout était prêt pour la journée superbe qu'elle allait passer, si seulement cette pluie de ténèbres cessée maintenant, ça rendrait la journée plus gaie.

Premier trajet, celui en train pour se rendre a New-York ou Meredith prendrait l'hélicoptère pour se rendre sur l'île volante qui se déplaçait dans les airs terriens. Une petite marche sous la pluie avait fait grand bien a notre mademoiselle Lillard, abritée sous un parapluie de couleur bleu nuit, elle réfléchissait sur ses actions précédentes, pourquoi avait-elle hérité d'un caractère aussi méchant, aussi méprisant envers les autres personnes? Est-ce quelqu'un pouvait lui répondre? Hélas, je ne pense pas. La jeune femme savait simplement que son corps était très beau et souvent désiré des hommes, mais si elle avait un peu plus de jugeote, elle saurait comment s'y prendre, mais seulement, elle n'était pas douée, voila tout... Une fois arrivée devant cet immense bâtiment de béton et d'acier, Meredith pénétra dans le hall trempe.

A son étonnement, il y avait qu'un seul ascenseur pour monter 100 étages. Seulement, celui-ci était vers le 60e étage et il montait encore plus haut. Avec regret et avec un grognement, elle fit toutes les marches pour se rendre au dernier étage. Fatiguée et épuisée, Meredith avait fait plusieurs pauses chaque dizaines d'étages. Tenant sa valise et son vanity aussi lourd que des poids. Une fois au centième étage, elle souffla tellement fort que les personnes présentes a coté d'elle se retournèrent pour lui lancer un regard méprisant, comme si Meredith était inférieure a celles-ci, a son tour, elle leurs jeta un mauvais regard méprisant.

L'hélicoptère transportait plusieurs personnes qui elle se rendait sur d'autres bâtiment dans l'enceinte de la mégalopole de New-York. Une fois le taxi finit entre les quatre coins de la ville, direction Lanbgradd S.S. Le trajet avait été un peu long et la passiveté du conducteur avait légèrement endormit Meredith. Finalement, elle fut secouée quand l'hélicoptère se posa sur le toit du lycée. Elle fût réveillée par les agitations du pilote. Après être descendu en ignorant les paroles de celui-ci, elle se rendit près de la porte qu'elle ouvrit avec le trousseau de clefs qu'elle avait reçue...

Invité

Lorsque Cassiopé avait appris qu'elle avait été reçue à Lanbgradd Statium School, elle avait été soulagée.
Soulagée oui car elle n'allait plus vivre avec son père. Soulagée car elle qui n'avait pas d'argent, elle pourrait être hébergée dans un lieu qui lui plairait certainement.
la jeune fille avait eut une dérogation. Etant donné qu'elle n'avait pas mis son père au courant pour son pouvoir et qu'elle était légalement majeure, elle s'était rendue au premier rendez-vous, seule. Elle avait donc baratiné à son père qu'elle partait en pension. Où est le problème ?

Cassiopé, du haut de ses 18 ans, avait choisit d'arriver en hélicoptère. Voui nan, un train qui vole c'est pas terrible terrible quand on est pas habituée aux choses anormales. C'est pourquoi Cassiopée se retrouve à bord de cet hélicoptère. C'est la deuxième fois. Oui elle l'avait déjà pris pour se rendre au rendez-vous. nana vraiment ce train volant ne lui inspire pas confiance.

En attendant le décollage, la jeune fille regarde par la fenêtre. Il pleut. Une véritable tempête. Le vent fait bouger l'hélicoptère. Mais peut importe, ce temps plait à Cassiopé. Elle n'a pas peur non. C'est vrai que n'importe quelle personne normalement constituée aurait du flipper à l'idée de prendre un hélicoptère par un temps pareil. Mais Cassiopé n'est pas comme les autres. Non, elle n'est pas attirée par les même choses et est totalement différentes des autres adolescents approchant de leur 19ème anniversaire.
Après tout, vous connaissez beaucoup de jeunes filles qui s'habillent de noir, qui restent muettes la plupart du temps et qui sont omnubilées par la mort ? Je suis prête à parier que non.

Mais revenons à nos moutons. L'état d'esprit de la jeune fille à ce moment précis. Nous avons donc vu qu'elle apprécie le temps. Mais encore ? En réalité, même si elle ne le montre pas, elle est dans un état d'impatience assez élevé. Oui, c'est une nouvelle vie qui commence pour elle. Qui ne serait pas impatient ?
Nous pouvons donc dire que Cassiopé est un minimum heureuse. Qui est un mot rarement employé pour considéré notre jeune personne. Mais passons. Cassiopé est loin d'appréhender tout ça. Non, elle n'a pas peur. Au contraire, c'est un nouveau monde qui s'ouvre à elle. Et qui dit nouveau monde, dit, nouvelles aventures. En d'autres termes, parfait.

Les pensées de cassiopé furent coupées court lorsque l'hélicoptère s'ébranla et décolla. Enfin !

Que l'aventure commence .....

Après un appel téléphonique spécial, Dasie embarquât pour Lanbgradd. Direction le train spacial qui coutait tout d'abord doublement moins cher! Le trajet était cool et les sièges étaient très confortables, Dasie aimait ça. Elle souriait et sembler heureuse. Une fois arrivée aux portes de l'école, elle déscendit en vacarme du train pour se rendre a l'intérieur.

Portant ses baguages avec les deux mains, elle arrivât enfin a l'intérieur, exténuée.

Invité

[/i]Juan Olkins pris le bus pour aller a lanbgradd.
Le bus avez la télé Juan s'en amuser de regarde des betise.
Il regarder la belle vu de Kyoto sur les montagnes.
Après Juan s'endormir pour 5 heure environ,quand il se reveilla il vu les beau paysage autour de lui et il avait l'estomac vide.
Il demanda a une serveuse de lui apporter a boire et a manger.
La serveuse arriva et dit: Voulez vous du thé, du café, de l'eau?
Je repondit : du thé svp et aurier vous des petit biscuit?
elle lui repondit bien sur... Tenez!Bonne appetit.!
Juan mangea tranquillement et but son thé.
Après il dormi 1 heure, et...Le garde dit en criant: Nous sommes arriver veyer prendre vos bagages et descendre!
Juan pris ses bagages descendit et entra avec joie dans l'ecole de Lanbgradd.